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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 17:19

 

 

Oui je sais, je suis très en retard pour vous présenter la lecture du week-end mais mieux vaut tard que jamais, non ?

 

Cette semaine, j'ai lu Kinderzimmer de Valentine Goby. Le sujet me rebutait mais je devais bien l'ouvrir puisqu'il fait partie de la selection des livres en compétion pour le prix des libraires en Seine.

 

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Quatrième de couverture:

 

“Je vais te faire embaucher au Betrieb. La couture, c’est mieux pour toi. Le rythme est soutenu mais tu es assise. D’accord ?

– Je ne sais pas.

– Si tu dis oui c’est notre enfant. Le tien et le mien. Et je te laisserai pas.

Mila se retourne :

– Pourquoi tu fais ça ? Qu’est-ce que tu veux ?

– La même chose que toi. Une raison de vivre.”

En 1944, le camp de concentration de Ravensbrück compte plus de quarante mille femmes. Sur ce lieu de destruction se trouve comme une anomalie, une impossibilité : la Kinderzimmer, une pièce dévolue aux nourrissons, un point de lumière dans les ténèbres. Dans cet effroyable présent une jeune femme survit, elle donne la vie, la perpétue malgré tout.

Un roman virtuose écrit dans un présent permanent, quand l’Histoire n’a pas encore eu lieu, et qui rend compte du poids de l’ignorance dans nos trajectoires individuelles.

 

Mon avis:

 

Lorsqu'il est question des camps de la mort autant vous dire que je passe mon chemin. La misère et la cruauté ne font pas partie de mes plaisirs littéraires. Ce livre aura eu l'avantage de me faire découvrir un aspect auquel je n'avais jamais pensé, la maternité dans l'enfer concentrationnaire. Je n'avais pas envisagé que des femmes puissent mener à terme ou presque une grossesse dans de telles conditions. Parrallèlement au roman de Valentine Goby, je suis tombée sur un article dans l'Express relatant le témoignage de trois bébés survivants du camp de Mauthausen. Durant soixante-cinq ans chacun a ignoré l'existence des deux autres. Ils sont peu nombreux ces enfants nés dans les camps mais pourtant ils sont vivants.Quelques enfants cachés, plus solides que les autres, nés quelques semaines avant la libération du camp.Le roman de Valentine Goby lui a été inspiré par un témoignage d'un de ces rares rayons de lumière au milieu de la nuit nazie. Un roman dur mais surtout un roman de resistance et d'espoir.

 

A l'heure où j'écris ce billet, j'apprends que Kinderzimmer vient de recevoir le Prix des libraires 2014

 

 

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2 mars 2014 7 02 /03 /mars /2014 22:26

 

Comme chaque samedi maintenant, voici ma contribution au défi week-end lecture proposé par Virginie B.

Dans le cadre de mon atelier lecture, je suis allée voyager en Italie auprès de Michel-Ange. Je vous présente cette semaine Pietra Viva de Leonor de Recondo.

 

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Quatrième de couverture:

 

Michelangelo, en ce printemps 1505, quitte Rome bouleversé. Il vient de découvrir sans vie le corps d’Andrea, le jeune moine dont la beauté lumineuse le fascinait. Il part choisir à Carrare les marbres du tombeau que le pape Jules II lui a commandé. Pendant six mois, cet artiste de trente ans déjà, à qui sa pietà a valu gloire et renommée, va vivre au rythme de la carrière, sélectionnant les meilleurs blocs, les négociant, organisant leur transport. Sa capacité à discerner la moindre veine dans la montagne a tôt fait de lui gagner la confiance des tailleurs de pierre. Lors de ses soirées solitaires à l’auberge, avec pour seule compagnie le petit livre de Pétrarque que lui a offert Lorenzo de Medici et la bible d’Andrea, il ne cesse d’interroger le mystère de la mort du moine, tout à son désir impétueux de capturer dans la pierre sa beauté terrestre. Au fil des jours, le sculpteur arrogant et tourmenté, que rien ne doit détourner de son œuvre, se laisse pourtant approcher : par ses compagnons les carriers, par la folie douce de Cavallino, mais aussi par Michele, un enfant de six ans dont la mère vient de mourir. La naïveté et l’affection du petit garçon feront resurgir les souvenirs les plus enfouis de Michelangelo. Parce qu’enfin il s’abandonne à ses émotions, son séjour à Carrare, au cœur d’une nature exubérante, va marquer une transformation profonde dans son œuvre. Il retrouvera désormais ceux qu’il a aimés dans la matière vive du marbre.

 

Mon avis:

 

Un voyage dans le temps, un voyage artistique mais pas tant que ça. Une tranche de la vie de Michelangelo lors d'un de ses séjours aux carrières de Carrare. Une lecture agréable mais qui n'apporte rien de particulier. Pas d'intrigue, juste une ambiance, un paysage, une mélancolie. Un roman qui ne reste pas en mémoire.

 

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22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 14:44

 

 

Comme chaque samedi maintenant, voici ma contribution au défi week-end lecture proposé par Virginie B.

 

Cette semaine j'ai entamé un livre que m'a prèté mon frère. Un auteur que je n'ai jamais lu, que je ne connais que de nom et qui a reçu pour ce livre le Prix de la meilleure autobiographie 2013 décerné par le magazine Lire.

Edna O'Brien est irlandaise c'est ce qui a attisé ma curiosité.

 

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Quatrième de couverture:

 

La lucidité et la hardiesse d'Edna O'Brien sont tout entières dans ses éblouissants mémoires. Quand cette «fille de la campagne», née en 1930 au fin fond de l'Irlande rurale, devenue l'auteur d'une oeuvre majeure, entreprend de raconter sa vie, se dessine en creux le portrait d'une femme libre et d'une créatrice farouchement attachée à son indépendance.

Arrivée à Dublin après une enfance solitaire et des années de couvent, l'étudiante en pharmacie découvre avec passion la littérature et le monde des lettres. Elle décide, contre l'avis de ses parents, d'épouser l'écrivain Ernest Gébler, avec qui elle part s'installer à Londres dès 1958. Lors de la parution de son premier roman, Les Filles de la campagne (1960), le scandale est énorme et le livre interdit en Irlande. Le couple ne résiste pas au succès de la jeune femme. Elle se bat pour obtenir la garde de ses deux fils, et décide alors qu'elle sera avant tout mère et écrivain, que rien jamais ne l'éloignera de sa table de travail.

Edna O'Brien évoque avec le plus grand naturel sa vie dans le «Swinging London» des années soixante. Sur Robert Mitchum, Paul McCartney, Marlon Brandon ou Richard Burton, qui furent des amants ou des frères - les deux seules catégories d'hommes selon elle -, elle livre des souvenirs drôles et tendres.

Jamais d'amertume dans ces mémoires, même quand passent les ombres qui hantent sa vie et nourrissent son oeuvre, celles de ses parents et celle de son mari destructeur et jaloux.

Sur le Nord, sur New York, sur ses réussites et ses échecs, ses joies et ses chagrins, les pages s'enchaînent avec l'apparente fluidité que donne à la grande styliste qu'elle n'a jamais cessé d'être l'obsession du mot juste.

 

Mon avis :

 

Je n'en ai lu que 200 pages pour le moment. L'écriture est fluide, agréable sans être passionante.Les souvenirs d'une Irlande rurale tristement banale. Un père alcoolique et insignifiant, une mère sévère et dévote, une éducation stricte et religieuse.. Une petite fille puis une jeune femme somme toute sans histoire. Quelques références historiques pour étayer l'ambiance. J'attends encore qu'elle devienne cette grande romancière assoifée de liberté et de passion que ces mémoires nous promèttent.

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 15:15

 

 

Comme chaque samedi maintenant, voici ma contribution au défi week-end lecture proposé par Virginie B.

 

Ah cette semaine je vous présente un auteur que j'adore. Ken Bruen est irlandais, natif de Galway, il est écrivain depuis qu'il a arrêté de courrir le monde en qualité de professeur d'anglais. Dotés d'un humour décapant, ses personnages sont toujours plaisants. Aujourd'hui je vous présente Sur ta tombe la dernière enquête en date de Jack Taylor un ancien guarda qui s'est fait viré de la police irlandaise après avoir malmené son superieur et abusé du fléau de l'alcoolisme. Jack Taylor est detective privé, alcoolique, cynique, passionné de littérature. Je le classe parmis les loosers magnifiques. J'ai lu toutes ses aventures et je ne m'en lasse pas.

Pour ceux qui lisent mes écrits depuis peu, je vous présente le premier roman ici :

 

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Quatriène de couverture :

 

Avec sa patte folle, un tympan et deux doigts en moins, Jack Taylor n’est plus si vaillant. Pourtant, malgré plusieurs séjours à l’hôpital, l’hostilité de ses anciens collègues et le chaos dans lequel l’Irlande est plongée, il va sauver quelques âmes et en laisser partir d’autres… Des prêtres se font la malle avec le magot de leur communauté. Quatre garçons et une fille ont décidé de nettoyer Galway de ses déshérités. En temps de crise, cela promet un véritable bain de sang. Certaines personnes aident les plus pauvres. D’autres les tuent.

Bienvenue sur ta tombe, Jack.

 

Cynique alcoolique doté d’un humour noir inébranlable, Jack Taylor tente à sa façon de rétablir l’ordre au royaume de Galway. Sur ta tombe est sa neuvième enquête. Un bon petit noir bien serré, mitonné par Ken Bruen, le maître irlandais.

 

Mon avis :

 

Honnêtement ? Courrez chez votre libraire et achetez lui toute la série des enquêtes de Jack Taylor.C'est brillamment écrit, truffé de références musicales et littéraires, drôle, sombre, irlandais. Plus qu'un régal, une addiction.

Ce dernier opus est à la hauteur des précédents, on y retrouve un Jack très abimé, des personnages secondaires auxquels on a pris le temps de s'attacher, une météo pourrie et une visite de Galway toujours aussi tentante. Une lecture indispensable, une détente garantie.

 

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8 février 2014 6 08 /02 /février /2014 14:07

 

Comme chaque samedi maintenant, voici ma contribution au défi week-end lecture proposé par Virginie B.

 

La semaine dernière je vous parlais du club de lecture auquel j'appartiens. Cette semaine, j'ai accepté de faire parti du jury du prix des libraires de mon département. Ainsi, je me retrouve avec six livres à lire avant la fin du mois d'avril en plus de mes lectures habituelles. Cette participation au jury me permet de découvrir des romans vers lesquels je n'aurais pas forcément eu l'idée d'aller.

 

Cette semaine, je découvre Le tango de la vieille garde d'Arturo Pérez Reverte.

 

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Quatrième de couverture:

 

En 1928, Max, gigolo, chasseur de femmes fortunées, fait route vers Buenos Aires à bord du Cap Polonio où il travaille comme danseur mondain, quand il aperçoit une pièce de choix: Mecha Inzunza, épouse richissime d'un célèbre compositeur, qui danse merveilleusement le tango. La passion de Max est immédiate et à Buenos Aires, où il guide le couple dans les cabarets des faubourgs, il noue avec elle une liaison très dangereuse. Le hasard les réunira deux fois: en 1937 à Nice, où ont été volées des lettres compromettantes sur le financement du coup d'état de Franco, et en 1966, dans un grand hôtel de Sorrente, où le fils de Mecha dispute un tournoi d'échecs sous l'oeil vigilant du KGB chargé de veiller sur les carnets secrets de Sokorov, le champion soviétique.

Le tango, l'espionnage, le jeu relient les trois moments de ce roman d'amour et d'aventures, semé d'intrigues et de trahisons. Après avoir traversé un siècle flamboyant et tragique, Max et Mecha, tour à tour proie et chasseur, tireront lentement leur révérence dans la lumière crépusculaire d'une époque qui s'éteint.

 

Mon avis :

 

L'écriture est belle, c'est sans doute ce qui me sauve de l'ennui. Je n'aime ni les échecs, ni le tango, ni les passions romanesques.

La description quasi érotique du tango est exceptionnelle, l'ambiance des faubourgs y est palpable. J'ai lu parfois en diagonale les parties d'échecs qui m'ennuient profondément et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. En revanche je suis ravie d'avoir découvert un nouvel auteur espagnol (je ne connaissais que Carlos Luis Zafon). Arturo Pérez Reverte est un ancien grand reporter, correspondant de guerre pour la télévision espagnole, il est passionné par la mer et l'histoire.

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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 10:40

 

Comme chaque samedi maintenant, voici ma contribution au défi week-end lecture proposé par Virginie B.

 

Depuis cet automne je fais partie d'un club de lecture. Nous nous réunissons un soir tous les deux mois dans la librairie de notre quartier autour de quelques grignotages et d'un livre dont nous avons choisi de débattre la séance précédente. Le livre est le même pour tous les participants. Il est généralement proposé par notre libraire mais n'importe qui peut proposer un roman. 

Ce mois-ci, nous nous sommes réunis autour de La Fabrique du monde de Sophie Van der Linden.

 

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Quatrième de couverture:

 

Et je me vois là, dans tout ça. Une petite Chinoise de dix-sept ans, une paysanne, partie à l'usine parce que son grand frère entrait à l'université. Quantité des plus négligeables, petite abeille laborieuse prise au piège de sa ruche. Enfermée là pour une éternité.

De nos jours, en Chine, Mei, jeune ouvrière, vit, dort et travaille dans son usine. Elle rêve aussi. Confrontant un souffle romantique à l'äpre réalité, La Fabrique du monde est une plongée intime dans un esprit qui s'éveille à l'amour et à la vie.

 

Sophie Van der Linden est spécialiste de la littérature pour la jeunesse. La Fabrique du monde est son premier roman.

 

 

Mon avis:

 

Je n'aurais jamais lu ce livre si on ne me l'avait pas demandé. Le sujet ne m'interresse pas et je craignais une mièvrerie. L'auteur a remarquablement bien documenté son travail, j'ai même cherché si elle avait vécu en Chine tant le réalisme est présent. C'est une chronique, un bout de vie que le lyrisme littéraire rend magnifique. Une très belle écriture pour une premier roman.

 

 

 

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25 janvier 2014 6 25 /01 /janvier /2014 09:00

 

Comme chaque samedi maintenant, voici ma contribution au défi week-end lecture proposé par Virginie B.

 

Je ne sais pas comment ni pourquoi je reçois le magazine L'Express depuis deux semaines. Je ne suis pas abonnée, je ne pense pas avoir gagné un abonnement. Christophe Barbier serait-il un lecteur assidu de mes gribouilles ?

La semaine dernière en découvrant l'exemplaire sous mon paillasson, j'ai pensé à une erreur. Cette semaine, plus de doute. L'enveloppe est bien à mon nom et je ne sais toujours pas ce qui me vaut ce cadeau.

Je lis très peu de magazines. Je les trouve trop pollués de publicités. Je n'aime pas la presse people ni la presse féminine. Je n'achète jamais de programme télé. J'ai été abonnée à Lire durant deux ans mais j'ai abandonné par manque de temps pour éplucher les extraits de livres qui m'interresse. Etant une fidèle de La Grande Librairie, je retrouvais bien souvent la même chose dans le magazine dont le rédacteur en chef et le présentateur de l'émision de France 5 sont une seule et même personne : François Busnel.

Tiens, mais il est aussi chroniqueur pour l'Express !

Cette semaine l'Express fait sa Une sur un phénomène de société vieux comme le monde mais dont on commence à parler sans honte. 

 

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Mon burn-out à moi il date de 1992. A l'époque il n'était pas question de parler de dépression due au surmenage professionel. Pourtant ça a toujours existé. Une chose est sûre, je ne lirais pas le sujet. Je n'ai aucune envie de replonger dans le marais puant où j'ai vécu pendant des années.

Je sais que ça peut parraitre facile à dire mais je continue à prêcher la bonne parole autour de moi : Prenez-soin de vous, personne n'est à l'abri de ce poison qu'est la dépression.

 

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 14:21

 

On continue le défi lecture proposé par Virginie B.

Cette semaine, j'ai replongé avec délice dans l'oeuvre d'Ernest Hemingway avec un roman postume : Paris est une fête.

 

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Quatrième de couverture:

Miss Stein et moi étions encore bons amis lorsqu'elle fit la remarque sur la génération perdue. Elle avait eu des ennuis avec l'allumage de la vieille Ford T qu'elle conduisait, et le jeune homme qui travaillait au garage et s'occupait de sa voiture - n'avait pas pu faire le nécessaire, ou n'avait pas voulu réparer en priorité la Ford de Miss Stein.De toute facon, il n'avait pas été sérieux et le patron l'avait sévèrement réprimandé après que Miss Stein eut manifesté son mécontentement. Le patron avait dit à son employé : "Vous êtes tous une génération perdue."

C'est ce que vous êtes. C'est ce que vous êtes tous, dit Miss Stein. Vous autres, jeunes gens qui avez fait la guerre, vous êtes tous une génération perdue."

 

Mon avis :

Une immersion dans le Paris idéalisé des intellectuels américains des années 20. On y croise Gertrude Stein, Francis Scott Fitzgerald ou encore Man Ray. Un récit de jeunesse que l'auteur préfère nommer roman tant il aime romancer ses souvenirs. Un café place Saint Michel, un whisky à la Closerie, une chambrette mal chauffée sous les toits du quartier Latin et la délicieuse écriture du chef de file de cette génération perdue.

 

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 23:00

 

Encore une nouveauté !

Ma copine Marie-Hélène m'ecrit hier pour me proposer de participer à un défi blogesque lancé par la pétillante VirginieB. Il s'agit de lecture, je n'ai pas pu refuser l'invitation. 

Comment ça se passe ? Vous pourrez retrouver ici tous les samedis (je vais essayer d'être régulière) une lecture qui m'aura plu dans la semaine. Il peut s'agir de mon livre de chevet du moment mais aussi d'un article lu dans la presse, sur un blog ou sur n'importe quel support. Je vous annonce tout de suite qu'ici, il s'agira principalement de livres.

J'espère que cette nouveauté intitulé Week-end lecture, vous plaira et vous donnera envie de découvrir mes lectures.

 

Cette semaine pour ma première participation, je vous présente Beloved de Toni Morrison.

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Quatrième de couverture:

"Le 124 était habité de malveillance. Imprégré de la malédiction d'un bébé..." A Bluestone Road, près de Cincinnatti, vers 1870, les meubles volent, la lumière allume au sol des flaques de sang, des gâteaux sortent du four marqués de l'empreinte d'une petite main de bébé. Dix-huit ans après son acte de violence et d'amour maternel, Sethe l'ancienne esclave et les siens sont encore hantés par le petite fille de deux ans qu'elle a égorgée. Jusqu'au jour où une inconnue, Beloved, arrivée mystèrieusement au 124, donne enfin à cette mère hors-la-loi la possibilité d'exorciser son passé. Parce que pour ceux qui ont tout perdu, la rédemption ne vient pas du souvenir, mais de l'oubli.

Ce roman aux résonnances de tragédie grecque, au style d'une flamboyante beauté lyrique, à reçu en 1988 le prix Pulitzer, et a figuré pendant des mois en tête des listes de best-sellers en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.

 

Mon avis :

Je ne l'ai pas encore terminé mais à ce jour mon choix pour débuter avec Toni Morrison est le bon. Une écriture pleine de souvenirs des anciens, une interpretaion du désir exceptionnelle.

 

 

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